En janvier 2019, nous avons présenté le premier chapitre de l’exposition Echoes à la Galerie Claire Gastaud à Clermont- Ferrand. Petit à petit, Echoes s’inscrit comme un projet artistique au long court. Une exposition, qui, comme les rebonds d’un son sur les parois des montagnes en dévoile différentes facettes, ouvre l’espace et une dimension imprévisible chère à Coraline de Chiara.
Le premier chapitre était consacré aux lucioles, fragiles et précieuses. Le second chapitre présenté à la Galerie Odile Ouizeman à Paris, est davantage tourné vers les dormeurs, des présences discrètes, invisibles, résistantes. L’œuvre de Coraline de Chiara repose sur une manipulation de l’image – objet de sa recherche dont elle annule les fron- tières et les classifications.
Qu’il s’agisse de dessin, de collage, de vidéo ou de peinture, elle « étire l’image ». Celle-ci est travaillée par la superposition et la juxtaposition pour en troubler le sujet et créer une illusion. Les livres, que l’artiste envisage comme des « objets de pouvoir » représentent une source d’inspiration intarissable. Ils renferment des secrets, des histoires, des images, une mémoire endormie.
Echoes
Echoes s’inscrit comme un projet artistique au long court. Une exposition, qui, comme les rebonds d’un son sur les parois des montagnes en dévoile différentes facettes